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Pachacamac en fête

  1. L'Equipe chez Serge

    Pachacamac en fête

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    La deuxième édition du Festival du sport, de la gastronomie et du tourisme aura lieu ce 1er juin dans le village de Pachacamac, la « Vallée verte » située à environ 35km au sud de Lima. Une série d’activités en plein air et une dégustation des produits locaux feront changer d’avis les voyageurs qui souhaitaient faire l’impasse sur la province de Lima. Des défilés ainsi que des spectacles de rue feront le reste pour les plus scpetiques. Au programme: Compétition d’escalade Compétition de cross Running Randonnée   Un concert avec les artistes péruviens du moment aura lieu le soir même. Ambiance garantie pour S/ 22 bien dépensés! Bareto Laguna Pai Mostos Verdes Kanaku y el Tigre Dengue Dengue DJ Luigi Autobus Pour vous rendre à Pachacamac, vous pouvez prendre une combi (point de départ au Pont de Benavides, situé sur l’Avenue Benavides dans le distrito Surco, à proximité de l’Université Ricardo Palma). Elles vous emmèneront directement sur les lieux pour S/5 ou S/6. Retrouvez plus d’informations ICI pour préparer votre excursion au site archéologique de Pachacamac, principal centre cérémonial préhispanique de la côte péruvienne. Share
  2. L'Equipe chez Serge

    Semaine touristique à Moyobamba

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    Chutes d’eau, végétation luxuriante, lagunes cristallines, papillons et espèces protégée. L’ambiance exotique est à son comble…Moyobamba, plus connue au Pérou sous le nom de « ville des orchidées », a tout pour plaire. Vous ne la connaissez pas encore? C’est le moment d’aller faire un tour dans ce coin de paradis. La petite ville du nord de la forêt amazonienne est en pleine période de fêtes. Au programme, une exposition d’artisanat de la jungle, des chants et des danses traditionnels et de nombreuses dégustations de plats locaux. L’occasion idéale pour découvrir le « juane« , plat cuisiné dans une feuille de bananier ou encore d’une « Inchicapi« , soupe à base de poule, cacahuètes et coriandre. Accompagnez ceci d’un bon « masato » et le tour est joué! N’hésitez pas à lire les récits des anciens voyageurs qui sont passés dans cette région du Pérou. Share
  3. L'Equipe chez Serge

    Carnaval d’Andahuaylas

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    Ne ratez pas le carnaval d’Andahuaylas!! Les péruviens sont de plus en plus nombreux à y participer. Cette année il aura lieu du 21 au 22 mars. Les danses et chants traditionnels ne manqueront pas. La bonne humeur non plus!! Le stad Nacion Chanka se remplira au son des tambours et autres instruments de musique. Les cotillons, ballons, confettis acceuilleront les touristes qui sont toujours les bienvenus. Quant aux dégustations de plats locaux… Le top du top?? Le défilé final dans les rues d’Andahuaylas! joignez-vous aux festivités! Share
  4. L'Equipe chez Serge

    L’INCA KOLA

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    Vous ne manquerez pas de découvrir lors de votre voyage au Pérou, l’Inca Cola, cette boisson gazeuse tant aimé des péruviens! Elle est jaune, sucrée à souhait, rappelant un peu le goût du chewing-gum. C’est le soda le plus consommé dans le pays, une vraie fierté nationale qui accompagne tous les plats: ceviche, lomo saltado ou encore aji de gallina! Ce breuvage made in Pérou se vend partout, des supermarchés, au vendeur à la sauvette en passant bien évidemment par les fast food. Crée en 1935 dans le quartier de Rimac à Lima par la famille Lindley, l’Inca Kola fait depuis toujours le bonheur des petits et des grands. Mais quel est donc son secret ?! Impossible de répondre avec certitude à cette question, en effet le mystère continue de planer sur l’ingrédient secret qui rend l’Inka Kola si unique et inimitable. Il s’agirait peut-être de la verveine citronnelle ou verveine du Pérou, une plante aux feuilles très parfumées à laquelle on prête des vertus médicinales : elle faciliterait la digestion. Rien de tel donc pour accompagner un bon (et souvent copieux) repas péruvien ! Les péruviens adorent le boire avec un ceviche par exemple. Quelques années seulement après le début de sa commercialisation sous le slogan « Il n’y a qu’un Inca Kola et il ne ressemble à aucun autre », Inca Kola dominait déjà le marché du soda au Pérou. Une vraie déferlante couleur soleil qui a petit à petit éclipsé Pepsi et donné du fil à retordre à Coca Cola jusqu’à...
  5. L'Equipe chez Serge

    Festival de la culture afro-péruvienne à Chincha

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    Festival de l’été Tous les ans dans le village de Chincha, les habitants de la région se déplacent pour célébrer le fameux festival de l’été « Verano negro ». L’ouverture approche puisque les festivités commencent en mars. Les costumes traditionnels émanant de la culture afro-péruvienne envahissent le village. Les instruments de musique, emblématiques de l’héritage culturel africain sont également le centre d’attention des voyageurs qui passent par là. Le « cajón« , les « maracas » ainsi que la « quijada de burro » (mâchoire d’âne qui emet des sons différents lorsque le musicien la râcle avec sa baguette) font danser touristes et autochtones. Où se trouve Chincha? Cette ville bien différentes du reste du pays est située à environ 200km au sud de Lima. Elle appartient à la province de Chincha et à la région de Ica. Si vous vous rendez à Paracas et à Nazca, vous passerez obligatoirement par là. Le village est situé sur la Panaméricaine et permet souvent aux voyageurs de faire une halte avant de reprendre leur route. Les champs de coton et ses agriculteurs postés aux abords de la ville lui donne un air décalé. Comme si le voyageur était transporté à une autre époque. Ses spécialités: La culture africaine ayant conservé sa propre gastronomie et s’étant également mêlée plus tard à la culture espagnole, vous pourrez déguster le carapulcra ou la sopa seca (attention cela n’a rien d’une soupe mais plutôt d’un plat bien consistant). Les spaghettis verts ne sont pas à laisser pour compte non plus. Le pisco et le vin...
  6. L'Equipe chez Serge

    Le Pisco Sour

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    LE PISCO SOUR Impossible de passer par le Pérou sans goûter au fameux Pisco (eau-de-vie de raisin dont le Chili et le Pérou se disputent la paternité) ! Le Pisco fait partie intégrante de la culture péruvienne et a même été inscrit au patrimoine culturel national en 1988 ! Plus qu’une boisson, c’est un véritable symbole, pour preuve il possède depuis 1999 son jour de fête (le quatrième dimanche de juillet). Le Pisco est le fruit d’une combinaison surprenante entre les vignes importées par les espagnols à la fin du 16e siècle et les terres fertiles et gorgées de soleil de la côte pacifique. Dès le début de la colonisation, les espagnols ont introduit en Amérique latine des souches de raisins du cépage Moscatel provenant des Îles Canaries afin d’étendre leur production de vin (c’est le marquis Francisco de Caravantès qui serait à l’origine des premières importations). Très vite, ce raisin sucré à également été utilisé par les vignerons locaux pour faire de l’eau-de-vie et c’est ainsi que le Pisco, si populaire aujourd’hui, est né.   L’origine du mot Pisco : Ce terme serait sûrement lié au port de Pisco situé à 300 km au sud de Lima à partir duquel était exporté cet alcool. En quechua (langue Inca), le mot Pisco fait référence à de petits oiseaux très présents dans la région Pisco-Ica-Nazca où est produite la fameuse eau-de-vie depuis plus de 400 ans. La civilisation Paracas qui était établie dans la région et reconnue pour ses poteries, utilisait des piskos (jarres...
  7. L'Equipe chez Serge

    L’EMOLIENTE: Médecine traditionelle à la mode

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    Qu’est-ce que l’EMOLIENTE? Au départ, cette boisson traditionnelle était destinée à des fins médicales. Préparée par les incas, elle était composée essentiellement d’herbes, de tiges et de fleurs. On retrouve tous ces ingrédients dans les marchés, surtout du nord du pays. Cette boisson aux vertus curatives était servie sous forme d’infusion et faisait partie du quotidien. Devenues très populaire à l’époque coloniale, les conquistadors y ajoutèrent de nouveaux ingrédients tels que l’orge (devenu maintenant l’ingrédient principal), les graines de lin et le jus de citron. Plus tard, les « emolienteros » y ajoutèrent du miel, de la cannelle, de l’algarrobina (miel provenant de l’arbre Algarrobo), du quinoa ou encore des fruits. De nos jours, plus question de faire la grimace en buvant cette « street drink » aux propriétés thérapeutiques. Etant revenue à la mode dans les quartiers de Miraflores et Barranco auprès de la jeunesse liménienne, il en existe une variété infinie. L’Emolienteria de Miraflores, lieu branché fréquenté en masse par les liméniens, propose des déclinaisons intéressantes d’emolientes. A goûter lors de votre passage dans la capitale ou sur les marchés en province.     Share
  8. L'Equipe chez Serge

    Le turrón de Doña Pepa

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    Le turrón péruvien, bien que présent tout au long de l’année, est à l’honneur en ce mois de célébrations du Señor de los Milagros. C’est un peu notre petit miracle du mois d’octobre à nous. Ce dessert très sucré trouve ses racines à Lima. Selon la légende la plus connue, Josefa Marmanillo, surnommée Doña Pepa et originaire de la vallée de Cañete (Région d’Ica, côte sud du pays) se rend un jour à Lima dans le but de remercier le Seigneur des miracles (El Señor de los milagros) de son étrange destin. En effet, paralysée des bras, cette esclave noire est affranchie par ses maîtres et se rend à la capitale. Elle cuisine un turrón haut en couleurs et le partage avec les liméniens. Elle se fait ensuite connaitre à travers tout le pays. Selon les dires des vieilles familles liméniennes, Josefa était une excellente cuisinière. Remarquée pour son « piqueo criollo », sa chicha morada (boisson élaborée à base de maïs violet) et sa mazamora morada (gélatine de maïs violet). Depuis le milieu des années 2000, les liméniens organisent, chaque année, le concours du plus gros turrón dans les rues de la capitale. Cette célébration populaire attire de nombreux gourmands. Plus de 300 mètres de biscuit sucré (petits boudins élaborés à partir de farine de blé) baigné dans du miel de chancaca (sucre de canne non raffiné) et parsemé de graines d’anis, de fruits confits et de dragées colorées sont offerts aux passants. Ne pas oublier la petite variante chocolatée: les « galletas »...
  9. L'Equipe chez Serge

    Les fourmis: LA spécialité culinaire!

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    En Amazonie, et ce depuis plusieurs années, on mange des fourmis. Attention, pas n’importe lesquelles, seulement les « siquisapa » également appelées « fourmis coupe-feuille ». Depuis la fin de la saison des pluies, cette espèce qui abonde dans la zone de Moyabamba (ville de la forêt amazonienne situé au nord du Pérou) connaît un véritable boom. Les péruviens ont pour habitude de les manger toastées au beurre ou à l’huile avec un peu de sel. Le petit côté croquant vous a donné envie? Vous pouvez acheter l’équivalent d’un bol de fourmis pour 7 à 10 soles (entre 2 et 3 euros) sur les petits marchés. Technique du curieux: on va manger un bon paiche (vous ne savez pas ce que c’est ? Ne loupez pas notre prochain article) et on goûte à ces petites bêtes pendant l’apéro. C’est très souvent offert par la maison. Pour plus d’infos sur les insectes de la forêt tropicale, regardez notre vidéo « Pérou, Amazonie de nuit« . Share

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